Bon a part çà... je me suis tapé tous le forum et je n'ai toujours pas trouvé la solution à ce problème de trayicon sans menu. la modif d'httpd.conf n'y fait rien. Possibilité d'avoir la réponse d'un dev? Sérieusement. Au fait la recherche sur le forum ne fonctionne pas aujourd'hui en tous cas. Otomatic et Dval arrêtez de faire vos chochotes toutes les deux et si vous n'avez pas de solution il y a encore tous le reste du forum pour vous éclater. Maintenant je suis pas comme vous et je veux pas passer des mois voir des années sur ce forum ok? Donc que ce soit dit ici en anglais ou en français, personne n'arrive à avoir un trayicon au comportement normal avec vista64. k? Salut les filles
Modifie 1 fois. Derniere modification le 15/01/2008 à 19:15 par tVdP.
Otomatic a écrit: ------------------------------------------------------- > Bonjour, > > Merci de ne pas insérer votre problème dans une > discussion en cours. Ça crée des gros mélanges > et on ne sait plus qui répond à qui et ça ne > facilite pas du tout la résolution des > différents cas.
Si pour la première tu t'étais adresser différamment... C'est extrémement impoli, dans le cas ou l'on s'adresse à une personne que l'on ne connait pas du tout et pourrait de surcroît s'avérer dangereux pour ton relationel. Si parcontre tu avais fais une suggestion au minimum neutre, du genre "pourriez- vous" ou "peux-tu" celà aurait été mieux pour que l'on ait de meilleurs rapports.
C'est mon avis mais compte-til seulement pour toi? Pauses-toi bien la question.
Là il ne s'agit plus de faire des suggestions du style:
Otomatic a écrit: -------------------------------------------------------
> Même si l'icône est dans la barre de tâches, > vérifier que les deux services indispensables > sont bien démarrés : > > Regarder également le contenu des fichiers de > "log" d'Apache
Non c'est plus sérieux ce coup ci et c'est pour celà que je demandais la réponse d'un développeur mais c'est toi qui revient encore.
Merci. Bonne Année moi je dis çà le 1er janvier au pire jusqu'au 2 après c'est obsoléte, comme le sera trés vite les OS 32 bits!
CETTE APPLICATION NE FONCTIONNE TOUJOURS PAS AVEC VISTA 64 BITS ET CE N'EST PAS DU FAIT D'APACHE.
Dev needed ce serait quand même bien de répondre pour au moins confirmer que l'on planche sur ce problème ou qu'une solution existe.
J'ouvrirai un nouveau sujet, donc Otomatic et l'autre là, restez à l'écart svp et je vous laisse le reste du forum. Sinon vous aurez l'air de deux boulets. Evidemment je me garde rai de toute intervention dans les discussions auxquelles vous participez, ce me semble juste. Alors adieu!
Merci
Modifie 7 fois. Derniere modification le 16/01/2008 à 12:44 par tVdP.
en cadeau je vous copie quelques textes précieux, j'ose gager que si vous arrivez à les lire jusqu'au bout votre vue de ce forum collaboratif et volontaire et de ses utilisateurs sera modifiée.
Avec mes meilleurs voeux, Dval.
Quelques balises à la portée de chacun pour être mieux avec soi même. par Jacques Salomé – psychosociologue et écrivain
Ne jamais oublier que la personne avec laquelle vous passez l'essentiel de vos jours et même de votre vie… c’est vous-même. Il convient donc de prendre soin de vous, d'accorder de l'importante à la totalité de votre personne (corps-esprit-moral) et de prendre le risque (considérable si vos proches et votre entourage ne sont pas habitués) de commencer à vous aimer.
Oui de vous aimer sans excès, sans narcissisme outrancier, simplement avec bienveillance, respect, bonne volonté et simplicité. Cela veut dire à ne pas hésiter à vous donner du bon, à reconnaître vos qualités, à sentir vos limites sans vous laisser emprisonner par elles.
Vous pouvez aussi envisager de faire un tout petit pas vers l'impossible, vous savez ce que vous imaginiez jusqu'alors impensable (ou impansable), inaccessible ou pas intéressant pour vous !
Vous pouvez commencer dès le matin, en vous regardant dans la glace, en acceptant de déposer un regard de sympathie sur vous même et même de vous accueillir avec un sourire. Car le sourire que vous n'offrez pas, la parole que vous gardez, le geste que vous ne faites pas sont perdus à jamais pour ceux qui ne les auront jamais reçus, y compris par vous même.
Dans vos rencontres et surtout dans vos relations durables soyez plus vigilants, osez des partages qui sont bons pour vous, en prenant soin de ne pas choisir de rester trop longtemps dans l'entourage de quelqu'un qui va vous polluer par ses propres malheurs ou encore parler sur vous et déposer quelques étiquettes, jugements de valeur ou points de vue avec lesquels il va tenter de vous définir, de vous cataloguer, de vous enfermer dans une image qui ne vous ressemble pas.
Enlevez les couches de superflu, ce qui ne correspondent plus à ce que vous êtes devenu, gardez le minimum de convenable (et encore c'est parfois de trop !) agrandissez tout le bon en vous.
Lâchez prise sur des habitudes en conserve, grattez les épaisseurs de morosité, secouez la poussière des idées toutes faites.
Acceptez de vous défaire de quelques fausses croyances du type : « à quoi bon, ça ne sert à rien, de toute façon c'est trop tard, je n'en vaux pas la peine… » et autres auto-saboteurs !
Laissez venir au monde, surgir sous la couche des passivités accumulées au cours des ans, ce sixième sens précieux qui est l'étonnement ou ce septième, plus rare, qui est l'émerveillement.
Préservez en vous le goût du beau et du joyeux.
Arrêtez de respecter les limitations de la vie que ceux qui vous ont élevé avaient déposé sur vous à partir de leurs désirs, de leurs peurs ou de leurs propres croyances ! Profitez de toute l'ampleur de l'existence, retrouvez votre pleine respiration. Pour entrer dans le bien être, aller vers un peu plus de bonheur, il suffit d'arroser encore un peu en vous les folies joyeuses de la vie…
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Apprivoiser la tendresse. par Jacques Salomé – psychosociologue et écrivain
La tendresse n'est pas un sentiment que nous portons naturellement en nous, c'est une qualité de la relation que nous aurons à cultiver. Tout d'abord en l'apprivoisant, en la développant dans l'intime de nous pour pouvoir la proposer (ou pas) à ceux qui nous entourent.
Les ennemis les plus redoutables de la tendresse sont la peur et la répression imaginaire liées à certaines croyances. Peur d'être mal vu, de paraître impoli ou intrusif en osant un geste, une attention, peur de l'érotisation possible dans un rapprochement ou un abandon, peur de la dépendance et bien d'autres craintes et angoisses irrationnelles encore qui vont faire obstacles à la tendresse.
La liberté de la tendresse surgira quand nous pourrons oser une intention, une bienveillance gratuite à l'égard de l'autre dans une relation ouverte où il n'y a aucun enjeu de séduction, de domination ou de mise en subordination.
La tendresse c'est une façon de donner sans attendre la demande et d'offrir sans contrepartie. C'est aussi une façon d'apprendre à recevoir sans se sentir obligé de rendre et surtout sans se sentir dans la dette vis à vis de celui ou celle qui nous a donné.
La tendresse c'est encore une façon de s'ouvrir à la tolérance en acceptant les différences.
C'est la tendresse qui permet d'accueillir dans chaque événement de notre vie, dans chaque rencontre le cadeau que contient le présent.
Bien sûr la capacité à donner et à recevoir sont des alliés puissants pour alimenter et nourrir la tendresse au quotidien.
La tendresse sera aussi une qualité de la relation qui prolonge le passé bien au -delà des souvenirs. Elle est dans la nostalgie douce de tout le bon partagé à l'intérieur d'un vécu qui a été important pour nous.
La tendresse nourrit le présent en ce sens qu'elle se ramifie à tous nos sens et nous rend réceptifs à l'infime, à l'impalpable, à la densité d'une présence, à l'écho d'une parole, à l'impact d'un geste ou d'une attention, au rayonnement et aux vibrations de l'autre.
La tendresse nous permet de vivre pleinement le présent et d'anticiper l'avenir pour en faire un futur désiré.
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Oui, j’ai encore quelques certitudes. par Jacques Salomé – psychosociologue et écrivain
Dans ma jeunesse et jusqu'à l'aube de ma vie d'adulte, j'avais beaucoup de certitudes et cela dans la plupart de grands domaines de la vie. Certitudes magiques de mon enfance, quand j'avançais sur le chemin de l'école, marchant sur le bord extrême du trottoir et que j'étais persuadé que si je ne marchais pas sur les traits horizontaux je ne serais pas interrogé en calcul (mon point faible !). Quand je croyais que si je laissais la fenêtre ouverte sur l'inconnu de la nuit, faisant ainsi la preuve de mon courage, le petite Marion dont j'était follement amoureux, s'intéressait plus à moi, qu'à mon rival qui était blond et si gentil avec elle ! Jeune adulte, j'avançais confiant en m'appuyant sur des certitudes que je croyais éternelles. J'étais persuadé que ces certitudes assimilées à des vérités intangibles, inattaquables, immortelles ne pouvaient se dérober sous moi ou disparaître. Elles étaient comme des ancrages, des balises d'une solidité à toute épreuve. “J'avais la certitude que la jeune fille de mes dix-huit ans m'aimerait toujours et bien sûr qu'il en serait de même pour moi !” “Que ma mère ne pouvait mourir et surtout que je ne pouvais mourir avant elle, cela aurait été une trahison épouvantable pour cette femme dont j'étais le fils adoré !” “Que la parole d'un ami d'enfance était ce qu'il y a de plus fiable au monde…” “Que la plupart des gens étaient honnêtes et sincères surtout quand je l'étais avec eux !”
Je ne savais pas encore, mais j'allais le découvrir très vite, que ce que je croyais être des certitudes, n'étaient en fait que des croyances, dont certaines relatives, versatiles ou très fragiles. Pour découvrir que celle qui prétendait m'aimer pour toujours, pouvait me quitter pour un autre, que ma mère était mortelle ainsi que moi, que nous n'étions trahi que par nos amis et qu'une parole donnée n'avait pas beaucoup de valeur quand des enjeux financiers puissants apparaissaient, et qu'au fond, nous, les humains, n'avions qu'une seule certitude : c'est qu'un jour nous allions mourir, que tout ce que je pensais être des certitudes n'étaient que croyances. Croyances, plus ou moins fortes, inscrites dans les strates de mon histoire ou découvertes dans les rencontres, les expériences de vie, les prises de conscience qui jalonnent une existence.
Et puis avec l'âge, j'ai découvert que j'avais quand même quelques certitudes auxquelles je tenais, auxquelles j'avais besoin de m'accrocher et qui je l'espérai, pourraient être plus durables et fiables que mes croyances antérieures.
La plus évidente, aujourd'hui pour moi : la certitude que nul ne sait à l'avance la durée de vie d'un amour. Que ni elle, ni moi, ne savions à l'avance si notre amour résisterait à l'usure du temps, à la monotonie du quotidien, aux épreuves et aux péripéties d'une vie violentée par tant d'épreuves et d'imprévisibles. Et qu'en conséquence il fallait apprendre à prendre soin de cet amour, à la protéger, à l'aimer.
Que je devais prendre soin de mes besoins relationnels (besoin de se dire, d'être entendu, d'être reconnu, d'être valorisé, d'avoir une intimité et une possibilité d'influencer mon environnement), car il y avait un lien très étroit entre la satisfaction de ces besoins et mon état de santé physique et psychologique.
Qu'il ne suffisait pas d'avoir de la volonté pour avancer et réussir dans ses rêves et ses projets, mais aussi de la cohérence, de la rigueur et une compétence à dépasser les obstacles et les échecs.
Que la prise de conscience n'est pas suffisante pour changer, qu'il faut quelque chose de plus : s'en donner les moyens ! Ma grand-mère disait : “j'ai pris conscience ce matin que le pneu arrière de mon vélo était crevé, c'est curieux cela ne l'a pas regonflé !”
Qu'il est important de ne pas se laisser définir par les autres (ou un proche), si je veux continuer à pouvoir me respecter.
Qu'il est important d'apprendre à dire non, quand la demande de l'autre ne correspond pas à mes valeurs, à mes désirs ou à mes besoins.
Que m'affirmer c'est prendre le risque de ne pas avoir l'approbation de l'autre et donc de rencontrer la solitude.
Que la pire des solitudes n'était pas d'être seul, mais de s'ennuyer en sa propre compagnie, qu'il m'appartenait donc d'apprendre à être un bon compagnon pour moi-même !
Que si une relation veut rester vivante, il est important de la nourrir de messages positifs et valorisants pour entretenir chez l'autre et chez soi, la vivance de la vie, une énergie dynamisante, l'amour et la confiance en soi.
Que le plus beau cadeau que l'on peut faire à un enfant, n'est pas tant de l'aimer, que de lui apprendre à s'aimer.
Que l'homme peut être fondamentalement bon, mais que c'est un prédateur redoutable, non seulement à l'égard d'autrui, mais surtout à l'égard de lui-même dans sa capacité et sa créativité à s'auto-saboter, à se violenter et à se détruire.
Que les femmes ont une capacité infinie d'entrer dans le plaisir, quand elles acceptent déjà de se l'offrir et qu'elles ont une générosité dans l'abandon qui dépasse tout ce qu'un homme peut recevoir.
Que nous avons reçu en cadeau (certitude très forte en moi) au moment de la conception une parcelle de vie, d'énergie et d'amour et qu'il nous appartient, soit de simplement la consommer, soit de l'agrandir jusqu'aux rires des étoiles.
Que si nous ne sommes pas capables de nous aimer, il nous sera difficile d'aimer. Qu'il est de notre responsabilité de ne pas confondre le don d'amour (celui que je peux donner) et le besoin d'être aimé (qui n'est pas un don, mais une demande qui parfois se transforme en exigence).
Qu'être autonome c'est-à-dire adulte, c'est prendre le risque de m'affirmer et donc de ne pas avoir l'approbation de mon entourage (et surtout de ceux qui prétendent m'aimer).
Que derrière toute peur il y a un désir. Cette découverte (assez récente) a transformé ma vie. Car je ne suis pas dans la même dynamique relationnelle, émotionnelle quand je suis dans l'ordre de la peur ou dans celui du désir !
Voilà pour l'instant les certitudes qui m'habitent, qui nourrissent ma vie et qui me permettent de rester ancrer pour l'instant dans l'existence.
J'ai tenté de rassembler le plus simplement possible les quelques certitudes fondamentales qui structurent aujourd'hui ma vie d'homme et qui me permettent de vivre à temps plein (ce qui n'a pas toujours été le cas) mes engagements et mes choix de vie.
Je voudrais ajouter que nous sommes certainement des dieux plus joyeux que nous ne le pensons, mais cela doit être une croyance.
tVdP a écrit : >Bon a part çà... je me suis tapé tous le forum et je n'ai toujours pas trouvé la solution à ce problème de >trayicon sans menu. la modif d'httpd.conf n'y fait rien. >Possibilité d'avoir la réponse d'un dev? Sérieusement.
et maintenant, sérieusement, voici une solution qui fonctionne pour le problème du tray sous Vista 64 bits, Pour les pros qui ne peuvent attendre...
Merci beaucoup pour le lien, tous fonctionne à présent, j'ai vu que tu avais stické l'info dans la liste du fofo. Bravo à Darell ; car c'est souvent les soluces les plus évidentes que l'on voit en dernier lol. Pour la Belgique, ceux qui n'aiment pas n'ont quà partir. Les mecs vous tendez le bâton quand même. Vois mon pseudo et tu comprendra pourquoi les remarques de ce genre je les trouves... pas de mot. Pour le texte plus haut, j'ai survolé, alors un conseil écarte toi vite de ce genre de lecture c'est le jargon commun aux mauvais gourous. Tiens un bon bouquin qui t'éloignera pour toujours du genre de littérature que tu m'as proposé et qui est au programme des facs en psycho socio: L'éloge de la fuite d'Henri Laborit. Et si tu préfére te détendre avec un des meilleur roman au monde: Adieu Gary Cooper de Romain Gary, est beaucoup plus efficace et anticonformiste que les pseudos psaume d'une doctrine douteuse. Aller c'est fait on s'aime maintenant. A plus.
:-) > Pour la Belgique, ceux qui n'aiment pas n'ont quà partir. Les mecs vous tendez le bâton quand même.
La Belgique est un pays de cocagne, vous ne comprenez pas, on fait tous semblant, on a juste besoin que l'on parles de nous pour rester la Belgique "capitale de l'Europe", ok ?